Se forger une identité à l’adolescence est quelque chose de complexe et source d’angoisse. Des outils sont mis à leur disposition, que ce soit au travers de films, de cours, vidéos ou encore de livres d’éducation, de témoignages ou de fiction, toutes les manières sont bonnes. Aujourd’hui, on va s’intéresser aux deux dernières catégories.

Le catholicisme est mal vu par beaucoup, que ce soit dû à des mauvaises expériences ou de la mauvaise information. Mais et si je vous disais que durant des siècles les femmes diacres étaient autorisées ? Saviez-vous que des croyant.e.s continuent de se battre pour être intégré.e.s à leur juste place dans leur religion ?

Depuis petites, les filles entendent parler de leur délicatesse, de leur sensibilité, de leur gentillesse, de leur besoin de faire des enfants. Mais c’est rare (beaucoup moins maintenant), qu’on leur parle de leur force, de leur futur métier.

Cela fait des années maintenant que le sujet de la féminisation de la langue française fait débat. Que ce soit au sein des institutions ou au coeur des familles, cette question divise. Et si on revenait à ses débuts ? Je veux dire avant sa masculinisation ?

Vous avez sûrement entendu parler des « problèmes de bonnes femmes ». Les problèmes du quotidien, de règles, de maladies, de soucis avec les enfants, entre collègues. Depuis toujours, l’humanité considère que les femmes savent mieux gérer les relations humaines, mais ne laissent-elles pas de côté un peu trop souvent leurs propres sentiments ?

Les femmes sont absentes des livres d'histoire, elles ont été effacées des grandes évolutions de l'humanité. La raison ? Les hommes l’ont écrites, et ils se la sont bien souvent appropriée. Certains ouvrages tentent d’y remédier, en revalorisant toutes les autrices, travailleuses, artistes, scientifiques ou encore politiques.

L’émancipation des femmes est sujet à débat depuis des siècles à l’international. Encore aujourd’hui, la frontière entre le féminisme et la sorcellerie est difficilement visible. De ces femmes qui furent jugées pour leurs connaissances aux véritables magiciennes pourvues de pouvoir magiques, les histoires n’en finissent pas.

L’éducation des plus jeunes aux questions qui taraudent les adultes de la société a toujours été sujet à débat. Car ils sont les adultes de demain, car ils sont l’avenir, car on veut toujours faire mieux. L’humain est un éternel insatisfait de ce qu’il a, pour le meilleur et pour le pire. C’est dans cet état d’esprit qu’est née l’éducation positive

Les livres libèrent tout autant les lectrices.eurs que les écrivain.e.s. Ces derniers, plus nombreux de jour en jour parlent souvent au nom de leur auditoire, qui lui, lit seulement sans écrire. Ceci s’apparente donc finalement à un remarquable travail d’équipe. L’écriture et la lecture, favoriseraient l’équilibre mental.